Mon tendre, mon cher, mon aimé péoux
Nacbuc, empereur de moi, roi de tout
Que viens-tu accaparer pareille charge ?
Toi qui, de tout temps, fus si sage
Est-ce une sombre peur, une vaine rage
Qui te fait croire que je me préoccupe de ton âge ?
En mon cœur troublé, en l’antre de mes sentiments
Chaque mot de toi m’est plus précieux qu’un diamant
Que viens-tu accaparer pareille charge ?
Toi qui, de tout temps, fus si sage
Est-ce une sombre peur, une vaine rage
Qui te fait croire que je me préoccupe de ton âge ?
N’aie crainte, je vois en tes yeux, plonge en ton
sourire
A toi à jamais, voilà mon bonheur, ma raison de vivre
Que viens-tu accaparer pareille charge ?
Toi qui, de tout temps, fus si sage
Est-ce une sombre peur, une vaine rage
Qui te fait croire que je me préoccupe de ton âge ?
Viens, rentrons à présent et là, tout contre mon sein
Ressens le battement éternel, l’union, l’appel divin